Les manuscrits de Kelliloute

22 septembre 2009

Un mariage de plaisir et d’émotions.

Publié par kelliloute dans Histoires erotiques

Il est venu me chercher sur le parking et je suis montée dans sa voiture. J’étais en communication téléphonique avec une cousine et, bien que je ne fusse pas attentive à la direction qu’il prenait, je savais amplement ce qui allait se produire. A l’instant où je raccrochais, je m’aperçus qu’il avait coupé le moteur et qu’il m’attendait. Je suis sortie de la voiture afin de fumer une cigarette.

Il faisait frais, à cette heure avancée de la nuit, et quelques voitures sont passées près de nous. Il m’a rejoint, s’est adossé contre la portière et m’a enlacée. Il m’a embrassée tendrement, me caressant les fesses tandis que je lui ôtais sa ceinture et lui déboutonnais le pantalon, et sortis sa queue. Puis il glissa ses mains sous ma jupe puis les promena sur mon sexe, où un doigt s’aventura à l’intérieur de ma petite chatte, déjà humide. Je levais instinctivement ma cuisse à hauteur de sa hanche : je voulais le sentir en moi. Je me sentais emportée par une vague de plaisir, la tête me tournait légèrement et la chaleur se fit plus insistante dans mon corps. Je devenais sienne et, l’idée de le savoir plus vieux que moi me plaisait, imposant par sa grandeur et sa force, cochon dans ses gestes, ses pensées et son regard. Il ôta mon dessous et le fourra dans sa poche. Une voiture passa… .

Mais la fraîcheur de la nuit nous rattrapa et nous dûmes retourner dans la voiture. J’ôtais ma veste et mon gilet.

Il caressa ma cuisse en faisant remonter ma jupe le long de mes jambes et écarta mon string pour y insérer un doigt. Je mouillais toujours et j’entendais clapoter son doigt contre mon sexe. J’écartais davantage les cuisses, m’assis bien au bord du siège de façon à le recevoir toujours plus profondément, tandis que mon corps se tordais de plaisir sous ces caresses infiniment intimes et toujours plus poussées. J’étais offerte à mon amant dans cette position exquise. Ma main caressait sa bite et, de temps à autre, lorsqu’il me le demandait, je le branlais de mes lèvres…

Il me toucha les seins de sa bouche, je défis les bretelles qui retenaient mon débardeur et mon soutien-gorge et goba un sein de sa bouche, dont il mordilla le téton un peu violemment jusqu’à m’en faire mal et à gémir de douleur…et de plaisir. Il me dit : « J’aime bien tes seins. Ils sont fermes. » « Merci », lui ais-je répondu, entre deux soupirs. Puis ses doigts recommencèrent leur travail et il me dit : « T’aimes que je te branle comme ça, dis-le moi ! » Je n’osais pas lui répondre mais il se fit plus insistant alors je lachais un « oui j’aime ça ! » J’avais basculé la tête sur le côté, vers la vitre, laissant mon corps accompagner ses caresses et se soulever de plaisir. Puis sa bouche quitta mon sein et vint dévorer mon sexe de ses lèvres et de sa langue. C’en était trop. Je voulais jouir de lui, je voulais le recevoir en moi, je savais qu’avec sa langue j’atteindrai l’extase. Mon sexe lui appartenait. J’étais devenue la proie de son désir, de son envie de me posséder et de me faire jouir…

A moitié dévêtue, offerte, je voulais qu’il me fasse l’amour et me laisser aller.

23 juillet 2009

Retrouvailles chaleureuses.

Publié par kelliloute dans Histoires erotiques

« J’arrive », m’avait-il dit par texto. Je sortis sur la terrasse fumer une cigarette, me languissant de son arrivée. Puis, à l’instant même où j’entrais dans le garage, j’aperçus une camionnette blanche se garer dans ma cour. C’était Quentin.

Il descendit de son siège au moment où j’ouvris la porte du garage, pour l’accueillir. Il était vêtu d’un tee-shirt de couleur marron à manches longues, en dépit de la chaleur écrasante, et d’une paire de jeans bleus, retenus par une ceinture marron. Ses manches étaient retroussées sur sa peau bronzée par le soleil. Il m’a parut légèrement fatigué mais heureux, cependant, de me retrouver. Lorsque je fus à sa hauteur, il m’enlaça immédiatement. Des semaines que j’attendais ce rendez-vous 100% plaisir… .

Il me caressa la peau, le dos, les fesses puis glissa ses mains sous ma jupe. Il s’adossa finalement à sa camionnette, je me collais alors contre lui, plaquant la paume de ma main gauche sur la carrosserie et l’embrassais. Je glissais mes mains sous son tee-shirt, touchant son torse musclé et sa peau douce ? Nous restâmes enlacés ainsi, de longues minutes, sans prononcer un mot, savourant ce bonheur qui nous unissait.

Puis je l’entraînais dans le garage, où je bus la moitié du café que je m’étais préparé peu de temps avant son arrivée, puis j’allumais une cigarette. Nous allâmes dehors, sur la terrasse, où il m’attira à lui. Je me dirigeais alors vers l’extrémité de la table en bois, m’assis sur le rebord et lui offris mon intimité, écartant les jambes. Je voulais qu’il me prenne là, sur le bord de cette table… .

Il s’approcha de moi, sortit son sexe, dur et large, qu’il frotta contre mes lèvres, tentant de me pénétrer, tandis qu’il m’embrassait. Il m’entraina avec lui sur le pan gauche de notre barbecue en pierre, me dénuda le torse et ôta mon bas de maillot de bain. Il embrassa ma poitrine, me tétant un sein tout en insinuant un doigt entre mes jambes. Pour être à l’abri des regards potentiels des proches voisins, il me prit et me déposa délicatement sur l’herbe, où il remonta ma jupe. Il écarta mes cuisses et je sentis sa langue caresser mon sexe et savourer le plaisir qui s’évadait doucement de mon corps ainsi qu’un doigt s’insérer au plus profond de mon con. Sous cette chaleur intenable, les seins nus, mon amant entre les jambes, je savourais ce plaisir tant attendu… .

Je désirais cet homme, tant et si bien que lorsqu’il me pénétra, son sexe ne rencontra aucune résistance et, afin de mieux le sentir, je bougeais sous son corps, lentement, me cambrant pour mieux le recevoir. Je jubilais. Il était doux, tendre et inquiet de son désir trop important pour pouvoir durer. J’étais reine de mes mouvements et de son plaisir, la bouche entrouverte d’où s’échappait quelque plaisir… .

Il vint dans un souffle, regrettant la courte durée de notre ébat, malgré son intensité et la complicité qui nous liait. Nous nous désirions mutuellement et nous aimions. Un amour hors du commun qui se ressentait lors de chacun de nos ébats.

Avant de repartir pour son travail, nous sommes restés quelques minutes assis l’un contre l’autre, parlant de chose et d’autre, à moitié dévêtus. Nous nous sommes enlacés quelques instants contre la carrosserie de ma voiture et caressa mon bras d’un geste tendre.

9 juillet 2009

Plaisir défendu.

Publié par kelliloute dans Histoires erotiques

Il m’attendait sur le balcon de son appartement, au deuxième étage du bâtiment. Je le distinguais peu dans la pénombre mais je devinais un sourire fendu sur ses lèvres.

Peu de temps avant mon arrivée, nous avions correspondu par texto sur nos téléphones respectifs. Pour moi, cela avait été un jeu de séduction, pour lui une invitation au plaisir.

Lorsque je l’aperçus sur le balcon, mon esprit fit mille tours dans mon cerveau. Je m’étais rendue chez lui par curiosité, simplement pour voir cet homme, père d’un ami, ex et amant, et qui m’avait trouvée très attirante la première fois qu’il m’avait vue, en compagnie de son fils. C’était il y a quelques semaines seulement. Mais comment aurais-je pu imaginer qu’un homme de plus de cinquante ans soit attiré physiquement par une jeune fille? Je trouvais cela un peu malsain.

Il m’a ouvert la porte et… je n’ai pu que constater qu’il était simplement vêtu d’un peignoir, nu dessous. Cette situation me mis mal à l’aise, moi qui suis plutôt pudique et n’ayant jamais connu pareille situation… .

Nous avons discuté pendant un bon moment, dans son salon, où il m’a offert un verre. Je suis allée fumer une cigarette sur le balcon, puis une deuxième, parce que je ne savais que faire, ni ne savais ce que je faisais chez lui à cette heure tardive de la  nuit! Je n’osais pas le regarder dans les yeux, j’étais gênée. Lui ne laissait entrevoir aucune gêne. Il a fait une première tentative sur le balcon, s’étant rapproché de moi lentement, me donnant l’impression que j’allais me retrouver prisonnière de ses bras dans quelques secondes. Je m’éclipsais. Nous sommes retournés dans le salon où il m’a dit: »Je vais m’allonger dans ma chambre. Si tu veux venir, viens! » Avant que j’ai eu le temps de réagir, je l’aperçus nu, de dos, dans la salle de bain. Cette vision sensuelle ne fit qu’un tour dans ma tête. Je fis un effort pour me lever et lui dis que je souhaitais rentrer chez moi. Il a remis son peignoir et m’a dit: »Viens t’allonger avec moi, je ne te toucherais pas, je ne te sauterais pas dessus. Tu te sentiras beaucoup plus à l’aise. » C’était sûrement vrai.

Quelques secondes ont suffi pour que j’accepte enfin sa proposition. J’ôtais brusquement ma veste et passais devant lui en me dirigeant vers sa chambre. Son lit était défait, ce qui accentuait la petite excitation qui était apparue en moi. Je me rendais vers le lieu du plaisir défendu. Je m’allongeais, les jambes croisées, les mains croisées sur mon ventre. Lui s’allongea à ma droite, entièrement nu. J’avais préféré rester habillée, j’étais raide comme un piquet. Je n’osais bouger, mon pouls s’était accéléré et je sentais qu’il voyait mon ventre se soulever rapidement.

Quelques minutes se sont écoulées avant qu’il ne caresse ma main, qu’il avait décroisée et croisée avec la sienne, nos doigts étant maintenant entre-croisés. Comme le faisait son fils, ais-je soudain pensé. Mon pouls s’est accéléré davantage lorsqu’il a continué ses caresses si douces, ainsi que les baisers qu’il déposait dans mon cou, sa langue me léchant la peu. Sa langue était chaude; il la promena ensuite sur ma bouche, mes lèvres, rencontrant parfois ma langue. Ce baiser, c’était le premier que je reçevais de cette façon. J’avais peur, peur du plaisir que j’allais ressentir dans les bras et sous les caresses de cet homme, vieux de plus de trente ans. Mais j’éprouvais de l’excitation au fait de lui appartenir durant une partie de la nuit. Il m’avait promis d’être tendre. Pour le moment, il l’était.

Sa main s’est promenée sur mon ventre, ma poitrine, où ses lèvres se sont aventurées sur mes seins et mes mamelons, par de doux baisers sensuels. Je décroisais mes jambes et ôtais les boutons retenant mon pantalon, tandis que sa main s’aventurait dangereusement sur mon bas-ventre. Il ôta mon pantalon d’une main, puis a posé sa main sous mon slip, qu’il a ensuite ôté. C’en était trop! J’étais fin prête à recevoir ses caresses, et d’autres, plus poussées… .

Il déposa de légers baisers sur mon bas-ventre, puis sa bouche descendit vers mon intimité, et, à l’instant où je compris ce qu’il allait faire, je fut parcourue par de longs spasmes de plaisir, accentués quand je sentis sa langue sur mon sexe, ses lèvres embrasser mes lèvres, sa langue me pénétrant. Cette situation dura plusieurs minutes, avant qu’il attrape ma main pour la poser dans ses cheveux et que je lui demande de me doigter. Le plaisir que je ressentais était dense, et trop important… .  J’étais comblée et, lorsqu’il introduisit un doigt dans mon con, je ne le sentis pas tout de suite mais lorsque je posais mon autre main sur sa tête, entremêlant ses cheveux entre mes doigts, je compris que j’étais emportée dans un élan de plaisir total. De temps en temps, je me touchais les seins. Il initia soudain un doigt dans mes fesses lorsque je m’entendis lui dire: »Non! » Il le retira, et d’un coup, me pénétra d’un doigt dans les fesses, assorti d’un doigt dans le con. J’étais davantage comblée. (Son fils avait déjà pratiqué cela avec moi… .)

Etre pénétrée de cette façon, qui ressemble finalement à la double pénétration, provoqua en moi des gémissements, auxquels mon amant répondait par : »Oui…! » de sa voix fièvreuse et endurcie par mon propre plaisir. Je cambrais mon corps pour recevoir de plus profondes caresses. Puis il ramena sa tête vers la mienne, m’attrapa la bouche violemment mais avec passion, me pénétrant de sa langue, quelques secondes durant, puis m’intima à lui caresser le sexe, dur et large, que j’entrepris de masturber tandis qu’il retournait m’embrasser le sexe de sa langue et de ses doigts. Je l’entendais gémir des caresses que je lui faisais, lui caressant les testicules, qu’il avait pris soin de raser, et lui caressant les fesses.

Il avait enfoui au moins deux doigts dans mon con, qu’il agitait énergiquement, d’où une goutte de transpiration qui vint rouler sur mon ventre, et j’avais serré les jambes afin de garder ses doigts au plus profond de mon intimité. Il voulait que je jouisses. Tandis que je gémissais fort, il me dit: »Oui… viens! » et faisait des va-et-vient avec son sexe dans ma bouche, que je léchais, mordillais, embrassais, caressais… .

Il se releva, voulu jouir dans ma bouche, puis sur mon visage, quand je lui dis: »Non, sur mon ventre ». Il entreprit de se masturber lui-même sur mon ventre, tandis que ses doigts fouillaient toujours mon ventre, lorsque les gouttes de sa jouissance furent semées sur mon ventre et dans les draps.

J’ouvris petit à petit les cuisses, laissant mon partenaire retirer ses doigts et me laissant le temps de redescendre tout doucement. J’eus besoin de longues minutes afin de redescendre et laisser retomber le plaisir, mon corps en trembant encore. J’aurais cependant souhaité que ses caressent durent, durent… .

Nul doute que cet homme avait de l’expérience en la matière! Nul doute également que j’avais jouis dans ses bras!

 

 

15 juin 2009

Petits extraits.

Publié par kelliloute dans Histoires erotiques

(…) Sentir la chaleur de son corps contre le mien, ses mains qui me caressent doucement, sa peau qui embrasse chaque courbe de mon corps, de ma peau, ses lèvres passionnées qui dévorent les miennes avec fougue, nos pieds qui se croisent, ses bras qui m’enlaçent, nos coeurs qui s’enflamment de désir et de passion… . Nous ne faisons plus qu’un dans ce monde, la vie nous appartient, on voudrait que cet instant dure toute la vie, on ne réfléchit pas, on pense seulement au plaisir que nous éprouvons, à ce bonheur, à ces étincelles d’amour que l’on envoie… . La première fois qu’il me fera l’amour, ce sera le jour le plus merveilleux de tous, ce sera parfait, un mélange d’amour, de passion, d’érotisme… . Il y aura des gémissements, des souffles courts, des bouches ouvertes, des lèvres qui ses cherchent, des doigts qui se croisent, les cheveux qui se collent sur le visage, et puis, on est tellement bien, enlaçés comme cela, que l’on s’endort, comme berçés par l’amour et l’on se réveille, toujours enlaçés, on s’embrasse avec volupté et l’on se dit: « je t’aime. » Mais ces mots d’amour, on ne les dit pas par hasard, on les pense sincèrement.

(…) Que c’est beau, le premier baiser… . On a l’impression d’avoir la tête qui tourne, on se sent aussi léger qu’une plume, on se sent heureux, on a le coeur heureux… . Un seul baiser signifie pour nous plusieurs choses, par exemple, celui qui nous a embrassée, il l’a fait parce qu’il en avait envie, envie d’un contact physique avec celle qu’il apprécie, ou alors qu’il veut sortir avec nous, pour une relation durable, tendre, amoureuse… . On a la tête dans les nuages, on se fiche de tout en un instant, on rêve de son amoureux, on se demande s’il est train de penser à nous en même temps que l’on pense à lui… . Difficile de se concentrer en cours lorsque l’on a un amoureux!

Année 1999

15 juin 2009

Un plaisir partagé.

Publié par kelliloute dans Histoires erotiques

Je l’ai croisé dans le couloir, il avait ses manches retroussées, nous nous sommes jeté un regard immensément profond. Il s’est arrêté, a mis sa main derrière mon dos et a murmuré, tout bas: « Suis-moi ».

Nous sommes allés dans la salle de réunion, il a fermé la porte derrière moi et s’est approché de moi. Je m’étais appuyée contre le bord de la table, au fond de la pièce, il s’est alors mis entre mes jambes et m’a embrassée avec une telle fougue que nos corps ont fusionné une fraction de seconde. Il m’embrassa dans le cou, sur les lèvres, puis s’arrêta et me regarda, les yeux vitreux. « Je te désires depuis le premier jour », me dit-il. « Moi aussi », lui ais-je dit.

C’est moi qui lui repris la bouche, tout en pressant son corps contre le mien, les mains sur ses fesses. Il gémissait de tout son corps et je sentais ses mains remonter le long de mes cuisses pour monter à ma taille. Alors que je dégrafais mon chemisier et libérais mes seins tout excités et lourds de désir, il me souleva et fit glisser ma jupe sous mes fesses.

Il attrapa un sein dans sa bouche, qu’il aspira goulument, comme un nouveau-né. Sa langue sur mon téton, ma main dans ses cheveux, mon corps cambré pour mieux accueillir ses caresses, il s’insinua au creux de mes cuisses, écarta les petites lèvres et promena un doigt, qu’il frotta contre ma peau, passant doucement sur mon clitoris. Je lui soulevais son pull, son tee-shirt, lui touchais la peau, aussi moelleuse qu’un voile de satin.

Il déboutonna soudain ses pantalons, qu’il fit glisser rapidement, laissant échapper son sexe, raide comme un rondin de bois. Il me souleva les fesses, les rapprocha du bord de la table et me pris avec une certaine violence. Il tenait mes fesses à pleines mains et leur faisait faire des va-et-vient sur son sexe, alors qu’il continuait à attraper avec passion mes lèvres, ma langue.

Nos corps ne faisaient plus qu’un dans ce monde cruel, et nous vînmes ensemble, après s’être aimés avec fougue, amour et tendresse.

Il déposa un tendre baiser sur mes lèvres, me pris par la taille et m’assis sur la table. Il me sourit et me dit: »je t’attends dehors à la fin de la journée.

13.02.2009

15 juin 2009

Qui es-tu?

Publié par kelliloute dans Histoires erotiques

« Je me suis bizarrement retrouvée allongée sur un lit, étendue sur le ventre, nue. Je sentais une langue s’aventurer sur mes fesses… . Elle fouillait peu à peu mon entre-jambes et s’insinuait dans mon anus. Une main me caressait le dos, les cheveux et les jambes.

Je ne voyais rien autour de moi. En face de moi, le mur blanc me laissait l’impression d’être dans un rêve. Cependant, le plaisir que je ressentais, lui, était bien réel, mon partenaire anonyme aussi, qui me caressait doucement mais de façon certaine.

S’abandonner sous les caresses d’un inconnu était d’une sensation extraordinaire, frissonnante et dotée d’un plaisir encore méconnu. Ses mains étaient douces comme la soie, et ses lèvres, qui m’embrassaient la peau, l’étaient également. Il savait ce qu’il faisait et connaissait parfaitement mes désirs, alors qu’il s’initiait à un doigté de précision à l’intérieur de mon con. Je supposais de petits doigts, une petite main, qui faisaient couler la sève due à mon plaisir, le long de mes lèvres.

Il n’y avait là ni brusquerie, ni violence, seulement un acharnement doux et sensuel à vouloir me donner du plaisir. Mais qu’attendait-il donc de moi?Je n’eus pas le temps d’imaginer une réponse que je me retrouvais assise sur ses genoux, dos à lui, sa main droite plaquée dans le creux de mon cou, son sexe m’ayant pénétrée déjà. Alors qu’il se frottait contre moi, contre mes fesses, sa main gauche me caressa les seins, gonflés de plaisir, me pinçant gentiment les tétons, puis la promena partout où il pouvait. Un de ses doigts, qui s’était aventuré au plus profond de moi se logea entre mes lèvres légèrement entrouvertes, encore humides de sève, puis s’en alla rencontrer ma langue. Comme des vagues, nos corps ondulaient, ensemble, au fil des va-et-vient de notre danse amoureuse. Ses mains me caressaient le dos, le ventre, les cuisses, et, de temps à autre, ses dents me mordillaient la peau du cou. La douceur de sa peau lorsqu’il me touchait était telle que je me sentais comme ennivrée, et n’eus pas la force de chercher à découvrir qui était cet homme. Les yeux fermés, je m’abandonnais sans regret, ni résistance quelconque.

Le plaisir que je ressentis fut extrême, le sien aussi. Nous sommes venus ensemble alors qu’il avait légèrement accéléré la cadence. Mon plaisir est sorti calmement, sans cri mais d’une sincérité telle que mon partenaire s’en senti réconforté. Celui-ci déposa de légers baisers dans mon cou, sur mes épaules, me caressa les cuisses, l’entre-jambes, puis approcha ses lèvres des miennes pour y déposer un tendre baiser. Je n’eus même pas la pensée d’ouvrir les yeux pour voir son visage. Après tout, il m’avait aimée lors de ce doux moment et c’était tout ce qui comptait.

Enfin, il se leva, je l’entendis se revêtir, sortir de la pièce et refermer la porte derrière lui. Je n’ai jamais su qui était cet homme si doux et si amoureux de mon corps. A demi consciente de ce qu’il venait de se passer et, sans avoir vu le visage de mon amant, je me mis dans les draps, encore mouillée, encore tremblante de désir. Je m’endormis peu à peu.« 

12.2008

15 juin 2009

Esprit gendarme.

Publié par kelliloute dans Histoires erotiques

Après trois heures de conversations, il a souhaité me montrer un poster dans sa chambre… . Comme un jeune garçon à une jeune fille : « viens, je vais te montrer ma chambre ! » Je me suis rendue aux toilettes, je l’ai alors entendu monter les escaliers. Il m’a dit : « je suis à l’étage ». Je m’en étais doutée !

J’ai grimpé une à une les marches, lentement, parce que je savais que je me rendais au lieu sacré, la chambre de Julien. J’étais un peu gênée, j’observais tous les gadgets militaires qu’il possédait, sa photographie le représentant en uniforme, ainsi que ses menottes, qu’il voulut me faire essayer.

Il s’était posté devant son lit et j’étais coincée du côté du bureau, près de la fenêtre. Je décidais soudain de baisser les volets de sa chambre afin de créer une atmosphère un peu plus intime. J’ôtais alors mes ballerines, il s’assit sur le lit et m’attira à lui. Nous nous sommes allongés l’un contre l’autre, il a commencé à m’embrasser, à me caresser, puis s’assit sur mes cuisses. Il ôta son tee-shirt, je vis alors cet homme que je n’avais jamais vu auparavant et que je découvrais pour la première fois. Bien bâti, musclé, légèrement poilu, se dresser devant moi. Je commençais à l’explorer tandis qu’il m’embrassait de nouveau, dans le cou, sur les joues, les lèvres, les yeux. J’enlevais mon tee-shirt, mon pullover, tandis que, d’une main, il défit ma ceinture, puis me caressa la poitrine par-dessus mon tee-shirt que j’avais voulu garder. Une main se glissa dessous, puis il s’allongea de nouveau à mes côtés, déboutonna le seul bouton de mes jeans, la fermeture éclair et s’engendra au creux de mes cuisses. Quelques minutes après, il enleva mes pantalons, mes socquettes (il trouvait cela pas terrible de garder les socquettes pendant l’amour), j’ôtais ensuite mon tee-shirt et mon soutien-gorge, c’est alors qu’il attrapa mes seins dans ses mains et les caressa, mordillant mes tétons de ses lèvres. Il descendit doucement sa main au creux de mon intimité, toucha de ses extrémités mes lèvres, mon clitoris qu’il caressa longuement puis un doigt curieux s’inséra dans mon con, allant jusqu’au plus profond qu’il put, tandis que sa bouche happait un sein. Il ôta mon string, m’embrassa sur le visage puis descendit vers mon bas-ventre en me baisant la peau, lorsque je sentis la chaleur de sa langue sur mes lèvres, à peine entrouvertes.

Des minutes durant, il promena sa langue et ses lèvres sur mon intimité, puis un doigt s’aventura, puis un deuxième, et, malgré le peu d’humidité, ces deux doigts me procurèrent un plaisir, celui d’être pénétrée par un morceau d’homme, de devenir sienne, l’instant d’une étreinte. J’enfonçais ma tête dans les oreillers, cambrais mon corps sous ses caresses, et fermais les yeux afin de me concentrer sur mon plaisir.

Il attrapa un préservatif dans le tiroir de sa commode, me le présenta et me chargea de le lui enfiler. Je lui dis : « non pas tout de suite ! ». Je savais qu’il aurait voulu me prendre maintenant, mais je n’avais pas encore prête, alors je m’assis de côté et lui goba la pine. Elle était si petite et si fine que je doutais de l’effet qu’elle produirait en moi, mais n’étant pas trop humide, lorsqu’il me prit en missionnaire, mes genoux pliés sur mon ventre, elle entra sans aucune résistance dans mon sexe. Ses coups étaient, au départ, un peu forts puis il s’est adouci et ses va-et-vient me firent frémir de plaisir. Toute ma peau était en éveil. Je sentais mes seins se balancer sur mon corps et cela me faisait légèrement mal, je les tins donc. Lorsqu’il vit cela, il ôta mes mains de mes seins, les prit et les tint sur mon ventre. De ce fait, mes seins continuèrent leur cadence rythmée des va-et-vient de mon partenaire. Je me sentais emplie de cet homme, qui me désirait tout autant que je voulais être dominée. Je n’osais le regarder, car je ne voulais pas qu’il lise le plaisir sur mon visage et pourtant, mes lèvres s’entrouvraient pour laisser échapper un gémissement. Après tout, le plaisir ressenti par la femme fonde celui ressenti par l’homme, et m’observer ainsi était le fruit de sa satisfaction personnelle.

Je sentis alors sa pine cracher dans le morceau de plastique qui l’entourait, notre plaisir avait été synchronisé. Il ôta le préservatif, s’allongea près de moi, et nous nous caressâmes, longuement.

20.05.2009

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