Il m’attendait sur le balcon de son appartement, au deuxième étage du bâtiment. Je le distinguais peu dans la pénombre mais je devinais un sourire fendu sur ses lèvres.
Peu de temps avant mon arrivée, nous avions correspondu par texto sur nos téléphones respectifs. Pour moi, cela avait été un jeu de séduction, pour lui une invitation au plaisir.
Lorsque je l’aperçus sur le balcon, mon esprit fit mille tours dans mon cerveau. Je m’étais rendue chez lui par curiosité, simplement pour voir cet homme, père d’un ami, ex et amant, et qui m’avait trouvée très attirante la première fois qu’il m’avait vue, en compagnie de son fils. C’était il y a quelques semaines seulement. Mais comment aurais-je pu imaginer qu’un homme de plus de cinquante ans soit attiré physiquement par une jeune fille? Je trouvais cela un peu malsain.
Il m’a ouvert la porte et… je n’ai pu que constater qu’il était simplement vêtu d’un peignoir, nu dessous. Cette situation me mis mal à l’aise, moi qui suis plutôt pudique et n’ayant jamais connu pareille situation… .
Nous avons discuté pendant un bon moment, dans son salon, où il m’a offert un verre. Je suis allée fumer une cigarette sur le balcon, puis une deuxième, parce que je ne savais que faire, ni ne savais ce que je faisais chez lui à cette heure tardive de la nuit! Je n’osais pas le regarder dans les yeux, j’étais gênée. Lui ne laissait entrevoir aucune gêne. Il a fait une première tentative sur le balcon, s’étant rapproché de moi lentement, me donnant l’impression que j’allais me retrouver prisonnière de ses bras dans quelques secondes. Je m’éclipsais. Nous sommes retournés dans le salon où il m’a dit: »Je vais m’allonger dans ma chambre. Si tu veux venir, viens! » Avant que j’ai eu le temps de réagir, je l’aperçus nu, de dos, dans la salle de bain. Cette vision sensuelle ne fit qu’un tour dans ma tête. Je fis un effort pour me lever et lui dis que je souhaitais rentrer chez moi. Il a remis son peignoir et m’a dit: »Viens t’allonger avec moi, je ne te toucherais pas, je ne te sauterais pas dessus. Tu te sentiras beaucoup plus à l’aise. » C’était sûrement vrai.
Quelques secondes ont suffi pour que j’accepte enfin sa proposition. J’ôtais brusquement ma veste et passais devant lui en me dirigeant vers sa chambre. Son lit était défait, ce qui accentuait la petite excitation qui était apparue en moi. Je me rendais vers le lieu du plaisir défendu. Je m’allongeais, les jambes croisées, les mains croisées sur mon ventre. Lui s’allongea à ma droite, entièrement nu. J’avais préféré rester habillée, j’étais raide comme un piquet. Je n’osais bouger, mon pouls s’était accéléré et je sentais qu’il voyait mon ventre se soulever rapidement.
Quelques minutes se sont écoulées avant qu’il ne caresse ma main, qu’il avait décroisée et croisée avec la sienne, nos doigts étant maintenant entre-croisés. Comme le faisait son fils, ais-je soudain pensé. Mon pouls s’est accéléré davantage lorsqu’il a continué ses caresses si douces, ainsi que les baisers qu’il déposait dans mon cou, sa langue me léchant la peu. Sa langue était chaude; il la promena ensuite sur ma bouche, mes lèvres, rencontrant parfois ma langue. Ce baiser, c’était le premier que je reçevais de cette façon. J’avais peur, peur du plaisir que j’allais ressentir dans les bras et sous les caresses de cet homme, vieux de plus de trente ans. Mais j’éprouvais de l’excitation au fait de lui appartenir durant une partie de la nuit. Il m’avait promis d’être tendre. Pour le moment, il l’était.
Sa main s’est promenée sur mon ventre, ma poitrine, où ses lèvres se sont aventurées sur mes seins et mes mamelons, par de doux baisers sensuels. Je décroisais mes jambes et ôtais les boutons retenant mon pantalon, tandis que sa main s’aventurait dangereusement sur mon bas-ventre. Il ôta mon pantalon d’une main, puis a posé sa main sous mon slip, qu’il a ensuite ôté. C’en était trop! J’étais fin prête à recevoir ses caresses, et d’autres, plus poussées… .
Il déposa de légers baisers sur mon bas-ventre, puis sa bouche descendit vers mon intimité, et, à l’instant où je compris ce qu’il allait faire, je fut parcourue par de longs spasmes de plaisir, accentués quand je sentis sa langue sur mon sexe, ses lèvres embrasser mes lèvres, sa langue me pénétrant. Cette situation dura plusieurs minutes, avant qu’il attrape ma main pour la poser dans ses cheveux et que je lui demande de me doigter. Le plaisir que je ressentais était dense, et trop important… . J’étais comblée et, lorsqu’il introduisit un doigt dans mon con, je ne le sentis pas tout de suite mais lorsque je posais mon autre main sur sa tête, entremêlant ses cheveux entre mes doigts, je compris que j’étais emportée dans un élan de plaisir total. De temps en temps, je me touchais les seins. Il initia soudain un doigt dans mes fesses lorsque je m’entendis lui dire: »Non! » Il le retira, et d’un coup, me pénétra d’un doigt dans les fesses, assorti d’un doigt dans le con. J’étais davantage comblée. (Son fils avait déjà pratiqué cela avec moi… .)
Etre pénétrée de cette façon, qui ressemble finalement à la double pénétration, provoqua en moi des gémissements, auxquels mon amant répondait par : »Oui…! » de sa voix fièvreuse et endurcie par mon propre plaisir. Je cambrais mon corps pour recevoir de plus profondes caresses. Puis il ramena sa tête vers la mienne, m’attrapa la bouche violemment mais avec passion, me pénétrant de sa langue, quelques secondes durant, puis m’intima à lui caresser le sexe, dur et large, que j’entrepris de masturber tandis qu’il retournait m’embrasser le sexe de sa langue et de ses doigts. Je l’entendais gémir des caresses que je lui faisais, lui caressant les testicules, qu’il avait pris soin de raser, et lui caressant les fesses.
Il avait enfoui au moins deux doigts dans mon con, qu’il agitait énergiquement, d’où une goutte de transpiration qui vint rouler sur mon ventre, et j’avais serré les jambes afin de garder ses doigts au plus profond de mon intimité. Il voulait que je jouisses. Tandis que je gémissais fort, il me dit: »Oui… viens! » et faisait des va-et-vient avec son sexe dans ma bouche, que je léchais, mordillais, embrassais, caressais… .
Il se releva, voulu jouir dans ma bouche, puis sur mon visage, quand je lui dis: »Non, sur mon ventre ». Il entreprit de se masturber lui-même sur mon ventre, tandis que ses doigts fouillaient toujours mon ventre, lorsque les gouttes de sa jouissance furent semées sur mon ventre et dans les draps.
J’ouvris petit à petit les cuisses, laissant mon partenaire retirer ses doigts et me laissant le temps de redescendre tout doucement. J’eus besoin de longues minutes afin de redescendre et laisser retomber le plaisir, mon corps en trembant encore. J’aurais cependant souhaité que ses caressent durent, durent… .
Nul doute que cet homme avait de l’expérience en la matière! Nul doute également que j’avais jouis dans ses bras!